LITHIASE RÉNALE
Depuis une trentaine d’années on constate une augmentation constante de la maladie lithiasique urinaire notamment dans les pays industrialisés, due à une suralimentation.
Ces calculs sont généralement des calculs radio-opaques qui représentent 52% des calculs chez la femme et 70% des calculs chez l’homme. Ces calculs peuvent être rénaux, urétéraux ou, bien plus rarement, dans la vessie. Généralement la découverte de ces calculs se fait dans un contexte d’urgence, notamment à l’occasion d’une crise de colique néphrétique voire d’une infection urinaire. La complication la plus grave est l’anurie, par blocage des voies urinaires bilatérales et unilatérales, mais surtout une septicémie sur lithiase qui peut entraîner le décès.
C’est dire si la prise en charge de ces calculs nécessitent parfois une véritable urgence thérapeutique.Les calculs les plus fréquents sont les calculs organiques notamment les oxalates de calcium.
En cas de calcul récidivant, on recherchera une maladie de la parathyroïde par un dosage de la parathormone.Les calculs d’oxalate de calcium sont généralement radio-opaques et les calculs d’acide urique sont généralement radio-transparents et sont dus à un excès d’acide urique dans le sang.
Les calculs de cystine représentent 1% des calculs et sont très difficiles à fragmenter et à traiter. On fait faire le dosage de la cystinurie pour vérifier la matière chimique du calcul.
les circonstances de découverte sont multiples infection urinaire hématurie fièvre parfois une simple échographie ou radiographie d abdomen sans préparation mais surtout la douleur aiguë.
Ces calculs sont généralement des calculs radio-opaques qui représentent 52% des calculs chez la femme et 70% des calculs chez l’homme. Ces calculs peuvent être rénaux, urétéraux ou, bien plus rarement, dans la vessie. Généralement la découverte de ces calculs se fait dans un contexte d’urgence, notamment à l’occasion d’une crise de colique néphrétique voire d’une infection urinaire. La complication la plus grave est l’anurie, par blocage des voies urinaires bilatérales et unilatérales, mais surtout une septicémie sur lithiase qui peut entraîner le décès.
C’est dire si la prise en charge de ces calculs nécessitent parfois une véritable urgence thérapeutique.Les calculs les plus fréquents sont les calculs organiques notamment les oxalates de calcium.
En cas de calcul récidivant, on recherchera une maladie de la parathyroïde par un dosage de la parathormone.Les calculs d’oxalate de calcium sont généralement radio-opaques et les calculs d’acide urique sont généralement radio-transparents et sont dus à un excès d’acide urique dans le sang.
Les calculs de cystine représentent 1% des calculs et sont très difficiles à fragmenter et à traiter. On fait faire le dosage de la cystinurie pour vérifier la matière chimique du calcul.
les circonstances de découverte sont multiples infection urinaire hématurie fièvre parfois une simple échographie ou radiographie d abdomen sans préparation mais surtout la douleur aiguë.
La colique néphrétique se traduit par une douleur lombaire à irradiation descendante vers le testicule chez l’ homme et les grandes lèvres chez la femme,
L’examen complémentaire à réaliser en urgence sont les examens biologiques : ECBU, calcémie, uricémie, NFS VS CRP, ainsi qu’une radiographie de l’abdomen sans préparation pour voir si les calculs présentent une opacité sur le trajet des voies urinaires. Une échographie des reins permet de visualiser une dilatation des cavités pericalicielles.
L’urographie intraveineuse permet de faire le diagnostic de calculs. L’uroscanner est encore plus précis notamment en cas de calcul radio transparent.
La contre-indication est l’allergie à l’iode et la grossesse, en fonction du terme.
Chez la femme enceinte une simple échographie est réalisée. L’examen au scanner reste rare.
L’urographie intraveineuse permet de faire le diagnostic de calculs. L’uroscanner est encore plus précis notamment en cas de calcul radio transparent.
La contre-indication est l’allergie à l’iode et la grossesse, en fonction du terme.
Chez la femme enceinte une simple échographie est réalisée. L’examen au scanner reste rare.